Silveryn Sylicia

Physique :
Quand elle était humaine, avait les yeux verts, maintenant, tous comme ceux de sa famille, ils sont rouges comme le sang. Elle ne les aime pas trop, elle les préférait comme ils étaient avant, maintenant, elle trouve qu’ils sont un peu trop voyants. Elle a des cheveux blonds chatoyants qui lui arrivent plus bas que les épaules et quelque peu bouclé. Depuis qu’elle est vampire, elle a la peau blanche comme de la porcelaine ; et elle est devenue encore plus belle. Elle aime d’ailleurs se changement. Elle en profite pour inviter les garçons à danser avec elle en discothèque, chose qu'elle n'osaitpas faire quand elle était humaine. Elle s’habille très souvent de noir, mais il lui arrive aussi de mettre des couleurs. Elle s’habille très bien.

Caractère :
Sylicia est une fille simple, un peu trop même. Elle n’est pas de ceux qu’on peu appeler futé, et pourtant il lui arrive très souvent d’avoir des réflexions intelligentes. Mais elle c’est faire la conversation, c’est une fille très agréable, qui se met rarement en colère. Elle ne vie pas sur le passé mais sur le présent, d’ailleurs tous ce qu’elle veut, elle l’obtient, d’où sont don de traqueuse, personne ne peut la fuir, qu’importe l’endroit, elle vous retrouvera. Elle adore peindre, elle a toujours un cahier à dessin sur elle. Elle aimerait bien avoir un petit copain, mais pour l’instant, elle n’a encore trouvé personne. Pour elle, la famille passe avant tout, maintenant qu'elle en a trouvé une, elle s'y accroche. Elle est très câline, et adore se faire chouchouter par sa famille, un peu comme un chaton.

Histoire :
Je suis sortie du ventre chaud de ma mère, le 23 août 1980, tout près du palais royal. Je n’ai jamais vraiment connue l’amour familial comme on peut le lire dans certains livres. Ma mère était bien trop occupé dans son travail de serveuse, pour me porter une quelconque attention, et mon père étais depuis bien longtemps partis, je ne sais où. Et pourtant, je ne garde que des bons souvenirs de ma mère. Elle était belle, et il lui suffisait s’un sourire pour me faire oublier mes malheurs. Je me souviens encore de quand j’étais petite, elle rentrait très tard le soir. Moi, je faisais semblant de dormir, et chaque fois que j’entendais le verrou tourner, je tendais la joue en attente de mon bisous. Et nous dormions toutes les deux dans le même lit.
On peut dire que ma vie d’humaine était tranquille, même agréable. J’avais plein d’amis, je sortais souvent. Mais il ne faut pas dire que j’étais une cancre à l’école, mais je n’étais pas très douer pour autant, je n’étais pas très futés, c’est comme ça. Et pourtant, je faisais à chaque fois mon possible pour avoir de bonne note. Mais le jour de mes 17 ans, ma vie bascula. Ma mère qui était si souvent occupée, m’avait préparé une fête avec tous mes amis. Mais je n’eus pas le temps de lui dire merci. Elle était morte. Cause ? Accident de voiture, tout ce qui à de plus simple. Merci pour ce merveilleux cadeau maman ! Je sais bien que ce n’est pas de ta faute, mais je ne peux pas m’empêcher de temps vouloir, je suis si seule maintenant !
C’est ce que j’avais cru. Mais le destin en décida autrement. Alors que j’errai dans les rues sans but précis, une femme d’une beauté extraordinaire, à la peau de porcelaine, vint à ma rencontre. Une seule chose clochait… Ses yeux. Ils étaient rouges sangs. Avant même que je ne m’en aperçus, elle était déjà sur moi, et me buvais le sang. Puis la douleur. S’il avait fallu comparer la mord à la douleur, je crois bien que je l’avais touché. Cette épreuve fut la pire de ma vie. Je me débattais, criai au secours, mais personne ne vint m’aider. Puis un jour… Plus rien. Pas même le bruit de mon cœur, c’était enfin finit. Mais… Si c’était le cas, pourquoi est-ce que j’étais entrain de pensé ? J’ouvris les yeux, et compris enfin pourquoi. J’étais maintenant une des leur. Ils étaient très gentils, et je n’eus pas beaucoup de mal à m’habituer à eux ainsi qu’à ma nouvelle vie. J’avais maintenant une vraie famille, j'étais enfin heureuse. Il ne me restait plus qu’à découvrir le grand amour.