You're in my paws [Pv. Jordan, my bad Boy]

Elle avait courut longtemps, depuis Mexico, pour se rendre à Forks. Elle y était finalement arriver en passant par Seattle. Malgré sa course, longue et fulgureuse, ses cheveux étaient impécablement échevelés, par contre, ses yeux restaient un peu sombre, un groupe de vampire l'avait pourchassé, évidemment, elle avait été plus vite qu'elle. Ils avaient arrêtés vivement lorsqu'elle avait passé entre deux arbres, comme s'ils avaient eu peur de quelque chose. Insousciante d'un danger future, Esmeralda s'y était aventurer.

La jeune femme arriva près de la mer, ses pieds callaient s'enfonçaient dans le sable argileux. Elle observa aux alentours, cherchant un point de repère quelquonc, un signe, un miracle peut-être. Elle posa ses mains sur ses hanches, sentant le tissu soyeux de sa robe blanche. Une fine bruine lui collait à la peau, l'air était chargé d'électricité, bientôt un orage allait éclaté, avec une pluie décadente. On était bien le 17 octobre, c'était comme ça à chaque année, à chaque pays.

-Joyeux anniversaire Proserpine d'Athène.

Murmura-t-elle en soupirant, un peu nosthalgique. Puis elle cessa de bouger, son nez sentait mille odeurs, puis une vint déranger l'état naturel des choses. Un être qui sentait le chien, le sale. Elle tourna légèrement la tête, plissa les yeux.

-Un loup.

Jordan n'avait pas encore attein le point ou les loups de la push vivait. Il trotinait en suivant la trace de leur territoire, se demandant ou il finisait. Puis il tomba sur une odeur qu'il détestait. Celle amère d'un buveur de sang. Il la renifla jusqu'a la plage puis a elle. Il s'arrêta a plusieurs pas, et grogna méchament. Mais lorsque la femme vampire se tourna vers lui, ses épaix sourcils poilut se froncèrent. Il la scrutait pendant que sa vie entière était en train de se transformé. Devenant ce qu'il ne voulait en aucun cas. Lien strictement a cette femme jusqu'a ce qu'il meurt. Le malheur s'était abattus sur lui, la pire chose au monde venait d'arrivé...

Il poussa un énorme soupire et se laissa tomber a plat ventre, poussant un gémisement terriblement malheureux. Sans quitter des yeux le vampire, il aurait souhaiter mourir. Il était incapable de l'attaquer, c'était au dessus de ses forces. Mais il accepterait qu'elle l'attaque et l'élimine sans qu'il ne bronche le moins du monde... Il resoupira, non désireux de prendre forme humaine et de lui adresser la parole. Il ferma doucement les yeux, un instant, pendant qu'il prenait conscience de sa nouvelle vie dédier a cette femme...

*La mort plutot que de devoir la suivre éternnellement... * Pensa t'il malheureux. *Mais je ne pourrais faire autrement...*

Esmeralda haussa un sourcil, elle l'avait entendu grogné et il s'approchait dangereusement d'elle. Elle ne voulait pas le blesser, mais s'il attaquait, le choix ne serait même pas à se poser. Lorsqu'elle s'était retournée pour le regarder, elle vit en premier un loup, énorme, et noir. Puis Esme croisa son regard doré, la noirceur de son propre regard s'atténua, elle ne comprenait pas pourquoi ce loup s'écrasait à plat ventre et soupirait d'un désespoir non contenu.

Puis la jeune femme compris, il avait imprégner sur elle, et innévitablement, elle-même serait attiré vers lui, comme un aimant, pas aussi puissant que lui, mais plus puissant qu'une autre femme. Sa vie était liée à la sienne, trouvait-elle cela malheureux, non, chaque chose avait une raison d'être. Par contre, lui n'en semblait pas heureux.

Esmeralda s'approcha de lui, sa robe lui collait aux cuisses, d'habitude elle s'en préoccupait, pas là. Elle voulait comprendre pour ce loup, semblait tant la méprisé. Certe, elle était vampire, mais elle en avait rencontrer dans sa vie qui se liait aux sangs froids.

La vampire s'assit à côté de lui, elle sentait la puissante chaleur qui émanait de lui, à travers sa fourrure. Elle ne le toucha pas, respectant son mépris, et sachant que s'il redevenait humain, il serait nu. Chose qui ne la gênait plus depuis l'époque grecque, mais qui risquait peut-être de le gêner lui.

-Je n'ai pas demandé à ce que tu t'imprègnes sur moi, j'ignore la raison de ton mépris, mais sache que le mal, je ne t'en souhaite aucun. Et que m'aimer tu n'es pas obligé, l'amitié peu remplacer.

Dit-elle, le regardant un court instant. Ses yeux fixèrent ensuite la mer qui commençait à s'énerver à cause de l'orage.

Le loup secoua sa lourde tête de gauche a droite encore plus désespérer en entendant sa voix. Il soupira a nouveau et ferma les yeux. Son corps souhaitais se rapprocher d'elle, oser la toucher, mais sa conscience qui se souvenit du tord causé par des vampires, n'arrivait pas a s'y résoudre. Longtemps son cerveau anaylisait, réfléchisait, mesurait sans rien trouver de coérent. Il fini par se décider et le loup se redressa en possition assis. Il repris alors forme humaine, en restant toujours assis au sol, jambe croisser lui sur l'autre de facon a cacher habilement son anatomie dénuder. Il soupira encore une fois, puis osa lever les yeux sur elle.

-Je n'aime pas les vampires, ils ont détruit ma tribu, ma famille et toute ma vie... Dit t'il de sa voix enrouée par la longue période ou il n'avait pas repris forme humaine. Pour moi, c'est pas une bonne chose, cette fichue imprègnation...

Il baissa la tête, malheureux. C'était une horreur pour lui. C'était comme tomber amoureux d'un ennemie, de celui qui a détruit sa famille, ca revenait au même dans sa tête, même si elle, n'avait rien a voir avec ceux qui avait martyriser les Muraco de qui il avait adopté le nom.

Esmeralda ressentait l’envie qu’il avait de la sentir, de la vouloir près de lui, mais elle pouvait sentir la force qu’il prenait pour s’empêcher de le faire. Elle-même avait déjà eu une profonde rancune envers les loups, qu’elle avait laissé aller, en vieillissant, car la haine ne faisait qu’altérer son peu d’âme qui lui restait. Elle aurait, pourtant, aimé savoir ce qui le rendit si haineux envers son peuple. Puis il se redressa, elle eu un instant l’impression que si elle avait été humaine, son cœur aurait battu à mille à l’heure. Le loup se transforma, et elle ne put contenir son admiration pour ce changement. Chaque partie du corps, chaque moindre cartilages, se rapetissaient pour prendre une forme plus petite, plus humaine. La femme vampire vit sous ses yeux un jeune homme qu’on ne pouvait ignorer en beauté.

Esme se demandait si cela était douloureux, mais ne dit rien, lui laissant le choix de parler ou de garder le silence. Il le rompit, racontant son histoire. La jeune femme étira sa main pour lui toucher le bras, mais s’arrêta en mi-chemin, il détestait sa race, elle n’allait pas mettre un fardeau de plus sur son être.

-Je comprend que tu possèdes une haine profonde envers mon peuple, mais sache que j’ai cultivé une rancune envers les loups durant les deux premiers siècles de ma deuxième vie. J’ai décidé d’oublier, car les temps changent, les gens évoluent. Esmeralda prit une courte pause où se regard se baissa. Elle replongea ses yeux mordorés dans les siens. Pourtant, comprend que nous ne sommes pas tous des meurtriers sanguinaires.

Esmeralda soupira et se leva, secouant le jupon de sa robe que le vent fracassait déjà. La jeune femme regarda au loin et croisa les bras.

-Si je pars, très loin, est ce que tu serais plus heureux. Tu trouverais une autre femme, m’oublierait.

Murmura-t-elle, avec un mince sourire, encourageant, soucieux.

Les mots qu'elle prononca lui fit l'effet d'un baume. Les buveurs de sang n'était pas tous identiques. Pas tous comme ceux qui avait détruit les Muraco. Il avait sentis son geste qui l'avais attendrit, légerement. Il leva la tête vers elle, la détaillant vraiment ce coup ci. Il n'arriverais pas a l'oublier, c'était sur. Elle était la plus belle femme qu'il n'avait jamais vu de toute sa jeune vie. Ce qu'elle dit sur le fait qu'elle pourrait partir parut lui briser le coeur. Il tenta de s'imaginer sans elle et cette idée lui semblait plus douloureuse que celle qu'il avait vécut quand il avait enterrer toute sa tribu. Il ferma les yeux pour reprendre contenance sur ses sentiments et les émotions qui risquerait de trahir ses penser.

-Ca ne marche pas comme ca. Dit t'il tandis que sa voix reprenait son timbre normal. Je ne peux pas aimer une autre femme que toi. C'est toi et ce jusqu'a ce que je meurt. Je te suiverais si tu pars, même inconsciensament. Je ne peux pas imaginer vivre sans toi...

Ses paroles, vraies, semblait a dut poison sur sa langue, lui tirant une grimace adorable plutot que répugner. Il semblait en réel combat contre lui même et ses expressions faciale ne refletait pas ce qui se passait en lui. Il semblait juste déchirer comme un homme dévoilant ses sentiments a sa belle ou alors celui qui vit une rupture. Il continua de la regarder avec son air triste....

Esmeralda sentit l’atmosphère se détendre légèrement, malgré le fait visible que les éléments se déchainaient. Son air triste lorsqu’il l’observa lui brisa le cœur, ses sourcils foncés s’arquèrent et son front lisse se plissa. Elle aurait voulut lui offrir une étreinte de réconfort, mais sa peau était si glacée qu’elle avait peur qu’il ne la repousse violemment. Elle le laissa la détailler, réfléchir, alors qu’elle se levait dans sa grâce et sa majestuosité.

Elle écouta ce qu’il avait à dire, et l’importance de ses paroles pesèrent sur son âme. Esme comprenait pourquoi elle ressentait une part des émotions qu’il ressentait. Ils étaient plus que liés, leurs destins devaient se croiser. Esmeralda n’avait pas le choix de devoir l’avoir sur sa trace, dans sa vie, comme lui devrait l’endurer, jusqu’à ce que mort s’en suive. La jeune femme se mordit la lèvre, comment apaiser une peine devant l’impossibilité du retour en arrière?

-Je vois que nous n’avons pas le choix d’être ensemble. Mais tu n’es pas obliger de me toucher, ou de faire quoi que ce soit qui pourrait montrer que tu es lié à ma personne.

Sa grimace la fit sourire un instant, le ciel s’éclaira de lumière, puis gronda. Ça se rapprochait, mais ça, elle ne le craignait plus. Esmeralda ne pouvait supporter de le voir si peiné, elle avait toujours eu l’esprit doux et passionné, suivant ses pulsions, elle s’approcha et posa sa douce main, aussi glacée qu’elle soit, sur la joue du jeune homme. Elle s’agenouilla devant lui, qui était assit et lui fit un sourire franc.

-Juste un sourire. Je ne demande que ça. Et je me nomme Wolfgang. Esmeralda Wolfgang. Dit-elle, en retirant lentement sa main du visage du loup.

-Je suis désolée pour la froideur de ma main. Ajouta-t-elle, désespérée de ce fait.

Jordan ne sursauta même pas au contact de sa peau. Il savait qu'elle était glacée, il s'y était attendu, par conte ce qui l'avait surpris était le geste, ce geste qui le fit sursauter. Il secoua la tête a ses excuses, completement inutille. Elle aurait pu l'injurier qu'il l'aurait pardonner sans détour. Il soupira puis leva les yeuxvers elle. Elle était si proche qu'il sentait sa froideur malgré la distance. Il papillona un moment, comme si il essayait d'être clair dans ses propos, dans ses penser.

-Que je ne fasse rien ou que je fasse tout, nous sommes désormais lier.... Murmura t'il.

Ce qu'il resentait était bien pire que tous ce qu'il avait jamais ressentis. Une force puissante le poussais vers elle, même si il résistait de toute ses forces. C'était improbable qu'il gagne. Il se redressa légerement, sur ses jambes et s'approcha d'elle, comme pour l'étudier. Il osa lever une main, caresser son visage de pierre aussi doux que de la soie. Pour lui, sa peau n'était peut-être pas aussi glaciale que les autres et son odeur était un mélange de rose et de tulipe. Une odeur douce et non âcre comme le sang. Il osa encore plus quand il se pencha vers elle pour effleurer ses lèvres, puis les embrassant franchement. Il souhaitait découvrir ce que ca lui ferais, le gout qu'elle avait et si ca le dégouterais. Étrangement, rien de ce qu'il redoutait se produit. Il adora les sensations que lui procurait le baiser, ses lèvres goutait le sucre, ce qui était peu probable et rien en elle ne le dégoutait. Rassuré, il rompit le baisser aussi court fut t'il, il lui fut profitable.

-Désolé... Murmura t'il ensuite..

Esmeralda ne savait quoi dire pour apaiser cet homme sur qui elle avait mit, inconsciemment, le fardeau de sa personne. La jeune femme continua pourtant de le fixer dans les yeux, attendant une réponse de sa part, un avènement, elle ne le savait pas. Puis il parla, sa voix résonna dans sa tête, elle écoutait dans ses réflexions.

-Je le sais. Le choix ne nous appartiens plus. Nous devons en faire ce qu'il en est.

Dit-elle, triste pour lui, car la situation, elle, ne la dérangeait pas tant que cela. Il ne serait jamais Amadeus, mais il était quelqu'un qui l'attirait, sans qu'elle ne l'aille demander. Elle saurait l'aimer, elle le savait. Puis il se redressa sur ses jambes, maintenant à genoux comme elle, le vent sifflait autour d'eux, mais rien ne les dérangeait plus que l'un et l'autre. Il leva sa main et toucha son visage, Esmeralda ressentit la chaleur que dégageait la peau du loup. Elle ferma les yeux sous la caresse, puis les rouvrit doucement. Il ne sentait pas le chien galeux, mais le musc. Lorsqu'il se pencha vers elle, Esme fut légèrement décontenancée, sachant pourtant, après tant d'années de vécues, à quoi cela allait se terminer. Il frola ses lèvres, pour les embrasser pleinement. Il était brulant, et elle était glacée, le mélange était tiède et doux. Parfumé d'épices et de fleurs. Esmeralda déposa une main sur la joue de l'inconnu alors qu'il rompait le baiser. Il s'excusait. Futilité, ce baiser lui avait tant plut, elle en était surprise.

-Ne le sois pas. On ne peut en réchapper.

Dit-elle en glissant sa main sur sa nuque, elle déposa ses lèvres sur les siennes et colla son corps habillé d'une robe humide et froide à son corps nu et bouillant. La jeune femme rompit un baiser qui avait été un peu plus engageant et collant son front au sien.

-Peut-être que cette histoire ne sera pas une aussi grande malédiction que l'on croyait!

Murmura Esme en plongea son regard mordoré dans le sien.

Il hocha la tête en guise de réponse, elle avait raison, raison sur tout... Son contact au lieux d'être glacé était doux comme de la soie, il adorait ca. Il alla chercher un second baiser puis un autre, jusqu' a être rassassier. Il se recula ensuite, un peu troublé de son audace. Sa tristesse commencait a quitter peu a peu son moral, ce qui était bien en soit.

-Peut-être que notre cohabitation peut être vivable... Et agréable.... Murmura t'il.

Il pris ensuite conscience de comment il était habiller. Cétait un peu troublant, il était nu et il n'aimait pas tellement ca. Il s'observa un moment puis leva les yeux vers elle, géner.

-Je ne pourrais pas resté humain longtemps et si tu veux me parler, il me faudra des vêtements... Et je ne peux pas avoir avant la réserve et ils ne te réserveront pas un bel accueuil...