We're going till the world stops turning.... [Pv. Lena]

Adriel était rentré au pays pour deux raisons. La premiere, réclamer ses affaires, et la deuxieme de s'assurer que Lena avait recut sa lettre sur l'idée de Marek. Le village était presque terminé et il était super. Les grilles du manoir était fermer, ce qui était fort étrange. Il grimpa sur les poteaux d'acier et se jeta en bas de l'autre coté, puis s'avanca lentement vers la porte de leur demeure. Il l'ouvrit lentement, renifla prudament les odeurs. Il n'y avait que Lena et Edrick dans le coin. Comme il s'était attendu. Il grimpa les marches et s'arrêta sur le palier des filles pour aller parler a sa douce. Il poussa la porte et fronca les sourcils, les odeurs d'Edrick était puissante, a croire que c'était sa chambre...

-LENA! Appella t'il sans douceur. Ou est tu?

Il ne voulut pas entrer et s'était arrêter sur le seuil, bras croisser, un peu facher...

Lena avait dans sa main la lettre d'Adriel, étant seule, elle pouvait se permettre de regarder l'écriture de son aimé avec une candeur que personne ne lui connaissait. Elle le sentit approché, sauter la grille et pénétrer dans le manoir. Son coeur s'emballa d'un joie non fainte, jusqu'à ce qu'elle sente une odeur non-familière qui émanait de lui, celle du femme. Son regard qui avait, étrangement, pris une teinte violette sombra au noir les plus total. Elle le savait, l'avait prédit. Elle n'était pas mieux, mais elle lui en voulait, souhaiter l'égorger. Puis il hurla son nom, puissament, il s'était arrêté à sa chambre, et elle se rappela sa nuit avec Edrick, il l'avait sentit.

Lena descendit les marches avec une lenteur mortuaire, torturante. Arrivée sur le palier de sa chambre, la jeune femme prit le vase sur le petit meuble et le lui lança d'une force inhabituelle, pour elle, qui ne lançait jamais de chose, elle qui usait de mot, simplement, blessant.

-Ici, Adriel.

Aucun sarcasme, seulement la colère. Lena semblait beaucoup plus fâchée que lui. Première, il l'avait abandonnée, ici, seule, avec avertissement qu'une simple lettre, puis il avait surement dû faire l'amour à cette femme, surement une galeuse, une chienne, un rat.

-Tu viens chercher tes effets pour retourner à ta catin en Australie?

Son ton avait été froid, mortellement froid.

Il avait vu de loin, l'aura rougâtre de l'émotion de Lena. Il évita habillement le vasse et la laissa l'attaquer, alors que lui, n'avait rien fait. Il releva le nez, facher.

-J'ignore de qui tu parle! Affirma t'il, mais si tu sugère ca a l'odeur de Chrissy Cullen, fille de nos amis, alors tu te trompe. Elle souhaite changer de régime, je l'intimais a ne pas le faire ou a vivre avec les deux. Je n'ai jamais poser les mains sur elle, pas comme toi, on dirais.

Il pénetra son antre, entra dans sa chambre. Il fronca les sourcils puis s'éloigna du fauteuil velour rouge ou trônais encore la chemise d'Edrick. Il était son meilleur ami, mais n'appréciait pas ce genre d'action. Il croissa a nouveau les bras, plutot loin de Lena.

-Tu m'accuse pour rien, mon ange, mais je viens quand même chercher mes affaires, te chercher, Edrick, Cyprilla, Loghan et Mederick. La bas, nous avons construit un village, viendra tu? Ou craignera tu ta rivale si jeune et trop inoncente ?

Il la défiait du regard. Il n'avait strictement rien a se repprocher et n'acceptais que durement les accusation de Lena.

Lena subit ses mots comme un fouet, une douce d'eau glacé, parce qu'elle savait qu'il ne mentait pas, et pour la première fois se sentit terriblement mal de l'avoir trompée, par vengeance, qui finalement, n'en était pas une. Pourtant cela, elle ne le montra pas, ça aurait été se montrer vulnérable.

-Que dois-je faire? Tu m'aimes, une fois sur deux, quand tu en as envie. T'attendre gentillement comme une femme au foyer, alors que j'ignore ce que tu vas faire pendant que tu galvaudes? Nous ne sommes plus en 1940.

Lança-t-elle comme argument, Lena le suivit dans la chambre, restant à une distance respectable de lui, ne souhaitant ni le toucher ni le voir de trop près. La dernière partie de sa phrase eu l'effet d'un arrachement de coeur. Lena le fixa, si elle ne s'était pas controlée, sa bouche se serait légèrement entrouverte.

-Tu prévois me tromper avec cette femme, si tu la nommes ma rivale. Qu'elle soit jeune et innocente, ça peut changer en temps de le dire.

Lena croisa les mains dans son dos, ses jointures devinrent plus blanches qu'elles ne l'étaient au naturel. Elle s'approcha de sa commode, où Adriel laissait des vêtements et ouvrit les tirroirs et lui lança son linge avec une nonchalance désolante.

-Je sais bien que je ne suis plus excitante et nouvelle pour toi. Alors pars, laisse-moi ici, seule. Tu as bien trouver quelqu'un pour me remplacer dans ta vie, quoique je ne suis pas comme les autres.

Lena se retourna. Si quelqu'un était entré dans la chambre, le spectacle aurait été triste, désolant, comme un mauvais soap américain. Il était le seule à la rendre ainsi, nue. Elle ne lui dirait pas combien elle l'aimait, combien il comptait pour elle, combien il la blessait chaque fois qu'il disparaissait. Pour lui, elle aimerait être fidèle, mais son corps ne veut pas, ne peut pas, son corps était sa malédiction. Comment l'être lorsqu'il est toujours loin, même lorsqu'il est à deux milimètres d'elle.

-M'as-tu déjà aimé, pleinement, totalement?

Elle ne se rappellait pas un moment dans sa vie avec lui qu'il l'est éperdument aimée, à vouloir changer les étoiles pour elle.