Quand on ose risquer notre propre sanité (PV Marek)

Anna s'apprétait déjà à se retirer lorsqu'elle entendit un léger bruit, elle n'y porta pas plus d'attention qu'il fallait, mais au moment où la voix de Marek se rendit à ses oreilles, la jeune femme se figea légèrement, puis releva la tête avec une lenteur effrayante. Puis elle vit son visage en premier, ses yeux bleus transpercèrent son regard et elle porta une main à ses cheveux, comme elle pouvait se trouver affreuse par rapport à lui. Anna eu un moment de silence puis se décida à parler.

-Oui, je, en fait, je venais m'excuser, vous savez, pour hier. Je me suis... bien, enfuit, oui. Balbutia-t-elle, nerveuse. Elle aurait voulut se frapper la tête contre la balustrade et se l'éclater et mourir.

-Donc, c'est pour ça que, puis elle réalisa qu'il était torse nu et affreusement beau comme ça, Oh.

Dit-elle, surprise, décontenancé, elle ignorait pire, le baiser ou le fait quelle aille à affronter sa demi-nudité sans avoir l'air imbécile et effrayée. Anna détourna le regard et se retourna pour être face au village, un cours instant elle cessa de respirer puis se rapella que pour sa survie, l'oxyg;ene devait pénétrer ses poumons. Que faire? Anna aurait souhaiter être un autre genre de femme.

Marek souriait, content de la voir. Écoutant ce qu'elle disait en se demandant ce qui l'intimidait le plus chez lui. Puis lorsqu'elle pris conscience de comment il était vêtus, il eut un fou rire. Il lacha une main pour lui caresser les cheveux, il replaca aussi une mèche de cheveux a sa place, captiver par elle.

-Je reviens, attend moi! Dit t'il maintenant, sans murmurer.

Il se redressa et disparut du champ de vision d'Anna, il espèrait qu'elle ne se sauve pas encore une fois. Il alla chercher sa blouse sur la cheminée et reviens. Il se jeta litéralement en bas du toit, attérit dans le gazon, bien plus bas que le balcon et pour éviter de lui faire peur encore, il enfila sa chemise en refesant le tour pour la retrouver sur le balcon. Il en était a boutonner l'étoffe qui flottait sur sa peau.

-Ne t'en fais pas avec ta réaction d'hier, ca arrive parfois... Dit t'il en s'arrêtant devant elle. Je ne t'en veux pas.

Il abandonna la tache, parce qu'il venait de se rendre compte qu'il avait fait tout de travers et les boutons n'était dans pas les bons trous. Il releva la tête vers elle en souriant.

-Je suis content de te voir. Dit t'il simplement. As tu bien dormit? As tu manger ce matin?

Anna sentit la main de Marek toucher sa chevelure, elle eu un léger frisson, puis il lui dit de l'attendre. Elle était bien trop figée pour avoir l'envie de se sauver. Il réapparut sur le gazon, elle l'observa attacher les boutons de sa chemise, d'une façon désordonnée, puis elle se surprit en train de s'imaginer qu'elle les reboutonnait à sa place. La jeune rougit instantannement et secoua vivement la tête, retirant cette pensée troublante de son esprit. Puis il arriva près d'elle et parla de sa réaction de la veille, Anna eu un rire ironique et soupira.

-C'est stupide comme réaction. Et ce n'était pas qu'elle n'avait pas eu envie qu'il l'embrasse au contraire, mais la peur lui avait poignardée le ventre, et si elle n'était pas douée à ce genre de chose? S'il la repoussait par manque de savoir? Elle croisa les bras sur sa poitrine, quelle mauvaise habitude et regarda un instant le sol. Ses paroles la firent sourire, elle releva les yeux vers lui.

-Je suis heureuse d'avoir eu le courage de me pointer ici. Puis elle mentit, oh oui j'ai bien dormis et j'ai mangé, un peu.

Une légère hésitation, puis elle fronça les sourcils, elle aurait voulut toucher la peau de son visage, de son cou, ses mains. Elle s'appuya contre le balcon et l'observa un instant.

-Tu répares le toit en chemise de soie? Demanda-t-elle innocemment, désirant dévier l'attention qu'il lui portait.

-C'est pour ca que je l'avais mise sur la cheminée. Je ne suis pas fou, quand même...

Loin d'être matérialiste, Marek aimait la texture de la soie sur sa peau de marbre. Il sourit, il était vraiment content de la voir. Les étoiles de la nuit lui avait murmurer des choses qu'il n'avait pas crue véritable. Les dire de la jeune fille lui parut mensongère, surtout quand il entendit l'estomat de la jeune fille gargouiller. C'était évident qu'elle n'avait pas manger, ou pas assez. Il ris puis s'approcha d'elle, il lui vola une maison et la tira vers la porte, qu'il ouvrit facilement, elle n'était pas vérouiller. Il la conduisit a la cuisine et l'abandonna près d'une table rustique en bois.

-Je ne pense pas avoir quelque chose de doux comme petit déjeuner, mais j'ai quelque chose qui s'aparente plutot a un souper... Dit t'il en ouvrant un frigo morderne qui n'allant réellement pas avec le décors.

Dans le congelateur, il y avait tout de sorte de morceau de viande rouge et completement glacée, mais dans le frigo, il trouva son bonheur.
-Ce matin, j'ai trouver des poules sauvage et un sanglier, je me suis amuser un peu. J'ai des oeufs et du bacon finalement. Dit t'il en brandisant ses trouvailles comme un enfant trop joyeux.

Tout sourire, il se tourna vers le four, lui aussi, fesait tache dans le décors. Il déposa ses trouvaille sur le comptoire de bois et se gratta le crane en regardant les éléments noir du four. Il se demandait sérieusement, dans quoi il pourrait faire cuire ses choses la dont il ignorait visiblement l'utilité...

Anna ne put contenir un rire amusé, puis elle s'approcha un peu de lui et toucha le tissu soyeux au niveau de son bras. C'était de la qualité, qu'est-ce qu'un homme, possédant une chemise faite avec une soie de qualité, faisait dans un village abandonné?

-Je ne crois pas que tu sois fou.

Puis, il s'approcha d'elle et l'entraina dans une maison où il l'abandonna à une table. Elle avait encore la sensation glacée de sa peau contre la sienne. Sensation agréable et surprenante. Puis elle déposa sa main sur vieux bois de la table qu'elle trouva particulièrement doux. Elle avait été soigneusement travaillée par ses anciens propriétaires. Elle leva les yeux vers Marek et haussa les épaules.

-Ce n'est pas grave, tant qu'on puisse se nourir. Puis elle vit les énormes morceaux de viandes dans le congélateur et réprima un fou rire, s'imaginant les deux, aux petites heures du matin, en train de se nourir de gros gibier. Puis alors qu'il ouvrit le réfrigérateur, elle vit des trouvailles plus matinales et un joli sourire fendit son visage.

-C'est parfait, donc.

Tel un homme de la situation il se dirigea vers le poêle, puis là, il s'Arrêta. Il semblait ne pas être sur de ce qu'il fallait faire. Anna rit puis se leva, réajusta sa robe blanche et lui toucha le bras pour l'éloigner un peu. Anna se pencha et ouvrir un tiroir sous le fou où elle en retira une poêle de fonte. Puis elle y déposa quelques tranches de bacon.

-À défaut de beurre, la viande générera le gras pour faire cuire les oeufs, dit-elle en allumant le rond. Puis elle regarda Marek un instant. Il était splendide, malgré sa chemise mal attachée. Et cette chemise laissait parraître un torse éblouissant, qui la laissait réellement mal à l'aise. Son coeur battait un peu plus vite que d'habitude et elle espérait qu'il ne la touche pas trop, mais en même temps, elle le souhaitait. Quelle confusion. La main d'Anna trembla un instant, alors qu'elle tentait de manoeuvrer une spatule sans faire de gachis.