~Matthew Silveryn~

Physique
Matthew est différent de tout ses gens qui
ne vivent que de la mode. Enfin, du moins,
il ne suit pas celledes stars. Il a un style
emo, skatteur. Il est très beau, il a fait
craquer les filles de chaque époque. Il
a des cheveux mi-long pour un garçon
qui lui retombe en mèche sur le front. Ils
sont bruns foncé mais il arrive qu'ils
s'éclaircisse avec le soleil. Il n'est pas très
souriant pourtant, lorsqu'il sourit, il est
magnifique. Ses magnifiques yeux bleus
clair qu'il aimait tant ont disparu pour
laisser place a de magnifiques yeux rouges.
Il est grand, près 1m84 et mince.
Mais si l'on repart dans les années 50 où
il était ados mais encore humain. Il était
style "bad boy", ses habits étaient toujours
abîmés, déchirés mais pas parce qu'il les
avait achetés ainsi mais parce qu'il était
toujours embarqué dans les bagarres de
avec des personnes pas très nettes.

Caractère
Le caractère de Matthew tourne autour
d'un seul mot "lunatique". Ce mot le décrit
presque entièrement. Ses humeurs changent
facilement de stade. Il peut être colérique
et devenir aimable et gentil en un instant,
pour aucune raison particulière. Seulement,
le plus souvent, il apparait froid, et distant.
Ce n'est pas qu'il n'apprécie pas la compagnie
mais c'est qu'il ne la recherche pas. Il n'ira
pas de lui même voir telle ou telle personne
dans la rue, il passera à côté d'elle en les
frôlant, s'il ne les bousculent pas. Il aime
sa famille mais il n'arrive pas à leur montrer.
Il ne sait pas comment s'y prendre. Il peux
pourtant se montrer affectif, câlin, lors de
certaines journées, très rare me direz vous...
Il méprise les humains et ne supporte pas
bien le fait de devoir les cotoyer au collège
qu'il déteste aussi. Il en a marre de ressasser
ses années collèges chaque fois...
Si il arrive à s'attacher à un humain,
celui-ci doit être vraiment spécial pour que
Matt éprouve un autre sentiment que
la haine contre cette personne.

Histoire
Je suis né en juin, un mois de chaleur.
Pourtant, chaleureux, je ne le suis pas,
ou très peu. Mais c'est de la faute de
ceux qui s'appelaient "parents" et qui me
dictaient ma vie dans leurs absences.
Ma famille était riche mais ils n'avaient
jamais eu l'intention de me coucher sur leur
testament. Je l'ai appris vers mes 13ans.
Cela m'avais mit hors de moi. En plus de
n'avoir jamais été là pour moi, ils n'avaient
pas l'intention de me reconnaître comme
étant leur enfant. Je suis devenu encore
plus distant de chez moi, je dormais chez
des potes et parfois, dans des hôtels pas chers.
Je trainais tard le soir dans les rues, étant
souvent embarqué dans des bagarres entre
clans, souvent amoché par leurs histoires
à la con. Puis, d'autres vinrent rejoindre les
bagarres, plus violent, armés avec d'armes
blanches et battes de base-ball. A ce moment,
j'ai compris que je n'avais rien à faire avec ces
cons sans cervelles. Je les oublais rapidement,
mais eux me gardèrent à l'oeil. Après un an à
les esquiver, ils me retrouvèrent un soir d'été,
au bord d'un fleuve. Ils me tabassèrent jusqu'à
ce que leur haine soit assouvis. Chaque coups,
chaque brûlures, chaque veine coupées, je leur
ais fait payer. Au début, je pensais mourir,
laissant ma main traîner vaillament dans l'eau
du fleuve. Puis, une demi-heure après, une
silhouette floue se pencha sur mon corp
qui deviendrais bientôt cadavre. Cette tignasse
blonde penchée sur moi, s'enfouissant dans
mon cou, perçant ma peau de ses dents.
La peur fut le dernier sentiment qui me
submergea. Après, ce fut le noir. Un
noir douloureux, sans vie, m'arrachant
plusieurs cris. Puis vinrent les couleurs.
Vive, aveuglantes et hargneuses. Un cri
me réveilla. Le mien. J'ouvris les yeux en
sursaut, observant alors tout les recoins
de cette pièce où j'étais allongé. Mes
yeux se posèrent sur cette silhouette
entre-apperçue le jour où elle m'avais
sauvé. Je murmurais un simple merci et
elle me désigna un miroir du regard.
Je me rendais devant lui en silence et me
regardais. La stupeur me fit reculer d'un pas.
Qui était ce jeune homme en face de moi,
dans ce miroir? Peu importe... Je le regardais
fascinné. Le plus dur à accepter fut la perte
de couleur de mes yeux... Mes yeux bleus,
c'était la partie que je préfèrais de mon visage.
Tant pis... Je rencontrais ma nouvelle
famille, remarquant immédiatement la différence
entre eux et les anciens. Ils m'apprirent à chasser,
ainsi qu'un bon nombre d'autres choses. Le temps
passa et les années en découlèrent. Je
remarquais à quel point je détestais l'école. Je
détestais ces misérables qui me tapaient
parce qu'ils me trouvaient insolents.
L'école devint une torture. Je souffrais de
ne pas pouvoir tous les boire et
arrêter d'étudier. Puis elle arriva. Elle débarqua
dans ma vie. Ce fut un choc, je ne pouvais
pas l'aimer. J'étais un vampire, elle, un repas.
Point! Pas d'autres solution. Si, la transformer.
Ce que je fis sans aucun regret. Elle devint
si belle, encore plus belle... Mais les remords
vinrent après. Qu'avais-je fais? Et si au fond,
elle aurais préféré une vie d'humaine?
Ce fut la première fois de ma vie de vampire
qu'un tel sentiment de remord me
submergeait ainsi. Le départ fut un choix
que je ne partagea avec personne. Un
jour, je vint lui dire adieu et sans un mot
de plus, je partis. Mon exil fut long,
ennuyant, mais le plus dur fut "elle".
Ne plus la voir, ne plus la toucher,
ne plus la sentir, s'attendre à la voir à
chaque coin de rue... C'était trop. J'aimais
être seul avec mes pensées mais a
présent qu'elle était là, la solitude dans
laquelle j'avais bâtit mon monde me pesait.
Je décidais de rejoindre ceux que j'aimais.
{retour écrit en rp avec les Silveryn s'ils
sont d'accord}